
InGreen · Bureau d'études biodiversité
Forts de nos 15 ans d’expérience dans le domaine paysager, nous constatons à quel point le changement climatique met en péril la biodiversité.
Nous nous engageons à aider les porteurs de projets à prendre en compte les exigences réglementaires en matière de biodiversité, de préservation des espèces protégées et des milieux naturels.
Nous agissons en qualité de conseils sur toutes les questions écologiques et mettons en œuvre la séquence ÉVITER-RÉDUIRE-COMPENSER dans les projets d’aménagement.
Nous expérimentons des solutions innovantes de génie écologique, nous menons des concertations avec les acteurs locaux pour élaborer des plans de gestion des sites.
En conseillant nos clients pour une meilleure prise en compte des écosystèmes, nous contribuons activement à la connaissance, à la prévention et à la restauration de la biodiversité.
Les jardins répondent à des besoins citoyens, réglementaires et environnementaux.
Nous devons agir !
créer de nouveaux espaces verts doit être la priorité numéro un des municipalités.
trouvent qu’il n’y a pas assez de végétal en ville.
pense que la ville du futur sera “végétale”et “écologique”.
habiter à proximité d’un espace vert est un critère important.
*Étude UNEP-IPSOS 2016 – Ville en vert, ville en vie : un nouveau modèle de société
Le saviez-vous ?
Bientôt un jardin à 300m de chaque habitation ?**
Au-delà de l’engouement des Français pour le végétal, le développement du vert en ville est
devenu une ambition européenne : 7 européens sur 10 choisissent leur lieu de vie en fonction
de sa proximité avec un espace vert. L’Agence européenne pour l’environnement a formulé un
objectif : « un jardin à 300m de chaque habitation ». En effet, en raison de la densification des villes, les
espaces urbains deviennent de véritables îlots de chaleur. Les espaces verts et les arbres
permettent de rafraîchir les températures
**Jardins et espaces verts, l’exception culturelle française ? » - Enquête UNEP-IPSOS 2013 dans 5 pays européens

Notre rêve : que tous les acteurs du développement urbain soient conscients de l’importance de la biodiversité dans les projets publics et privés.
Les atouts inGreen
Urbaniser la ville avec la nature est un moyen innovant et bénéfique de créer des espaces durables, sains et agréables.
inGreen crée des espaces vivables et durables pour tous. Ces lieux ouvrent de nouvelles possibilités de connection avec la nature et à la biodiversité, tout en contribuant à une qualité de vie améliorée.
inGreen est persuadé que pour se projeter, il faut une perspective au plus près de la réalité. Nos outils de conception réalisent des plans de jardin sur mesure 2D et 3D qui permettent à nos clients de comprendre pleinement la qualité de notre travail
Notre savoir-faire
Nos solutions
Notre objectif
Penser et concevoir votre environnement avec plus de biodiversité

POUR LA DIVERSITÉ DES ESPÈCES
Au jardin, la biodiversité ne se mesure pas au nombre d’espèces ayant élu domicile dans cet espace délimité, mais plutôt à la diversité, la quantité et la richesse de leurs échanges. Les plantes et les animaux coopèrent pour maintenir la bonne santé de l’écosystème.
POUR NOUS
La nature nous aide et nous est bénéfique pour plusieurs raisons : santé (réduction du stress, diminution de la pollution atmosphérique…), bien-être (bienfaits psychologiques & physiques…).
POUR DE BONS SOLS ET UN CLIMAT AGRÉABLE
Dans un jardin naturel, la pluie est moins à même d’emporter les nutriments, le sol conserve sa qualité. Véritable climatisation naturelle, la végétation réduit la température en absorbant et en réfléchissant les rayons du soleil.

UN JARDIN D’ENTREPRISE : DES BIENFAITS DÉMONTRÉS ET UNE CLÉ DE RÉUSSITE
Aujourd’hui, on estime qu’environ 20% des espaces verts urbains sont des jardins d’entreprise. L’engouement pour ce type d’espace ne cesse de croître partout dans le monde. Pour certains employés, le potager d’entreprise approvisionne 100% de leurs légumes.
Bien-être
Un environnement de travail agréable :
des enquêtes ont permis de révéler qu’un
environnement nature et biophilique était source de
tranquillité et de bien-être au travail.
Des bienfaits physiques et psychologiques :
la proximité de la nature a une influence positive sur
la fatigue physique et l’état de santé général et permet
de diminuer le stress et d’améliorer l’humeur.
Productivité
Plus de cohésion :
le jardin instaure un esprit de groupe de bonne
qualité, renforce la cohésion sociale au quotidien et
pérennise l’entreprise.
Concentration & créativité :
les espaces verts permettent d’avoir de meilleures
idées et développent la créativité.
Diminution de l’absentéisme :
un environnement de travail plus naturel permet de
réduire de 10% le taux d’absentéisme* chez les
salariés et une hausse de productivité de 15%**.
Image
Auprès de ses employés :
les salariés ont une meilleure opinion de l’entreprise
qui a à cœur le bien-être de ses employés et de
l’environnement.
Auprès des visiteurs, clients, fournisseurs :
c’est une vitrine attrayante de l’entreprise et un
avantage pour ses relations avec l’extérieur.
Auprès de futurs collaborateurs :
une entreprise qui prend soin de ses salariés et de
l’environnement motive les futurs collaborateurs à
rejoindre l’entreprise.
Auprès des institutions financières :
en charge de la cotation financière des entreprises,
la Banque de France veut instaurer un « l’indicateur
climat » qui permet d’évaluer comment ces entreprises
s’adaptent face au changement climatique.
*Étude scientifique américaine réalisée en 2011 par l’Université de l’Oregon - Source bluedigo
**Étude anglaise de l’université de Exeter - Source les jardins du renard et du papillon

VIVRE PRÈS D’UN ESPACE VERT : VÉRITABLE DÉSIR DE PLUS EN PLUS FORT
Selon une étude récente*, 16% des Français considèrent que l’environnement doit être une priorité en matière d’action publique. Au niveau municipal, cette attente se traduit par une demande croissante d’espaces verts en ville. Ainsi, dans le contexte d’un budget municipal limité, 6 Français sur 10 souhaiteraient en priorité la création de jardin ou d’un espace vert dans leur ville.
*Étude UNEP-IPSOS 2016 – Ville en vert, ville en vie : un nouveau modèle de société
Alliées de l’Environnement
Cheffes de file en matière de protection de l’environnement :
les villes sont en première ligne de tout.
Ainsi, lorsqu’il y a un problème d’augmentation des précipitations entraînant des inondations, les villes
doivent y faire face. Lorsqu’il y a un problème de mauvaise qualité de l’air, les villes doivent y faire face, etc…
Les villes peuvent s’adapter aux conséquences des changements climatiques en recourant à des
solutions fondées sur la nature
qui peuvent les rendre également plus attrayantes et plus agréables à vivre pour leurs habitants.
Éveilleuses de conscience :
les villes jouent un rôle crucial dans la sensibilisation à l’environnement.
En promouvant des pratiques durables telles que le recyclage, la réduction des déchets,
les villes peuvent encourager leurs habitants à adopter un mode de vie plus respectueux de la planète. De plus,
les initiatives par les villes pour protéger et préserver les espaces verts et les écosystèmes locaux
peuvent inspirer les habitants à faire de même dans leur vie quotidienne.
Elles ont également un pouvoir d’influence important grâce à leur visibilité et leur capacité à
organiser des évènements et des campagnes de sensibilisation sur l’écologie.
En somme, les villes sont de véritables agents de changement pour éveiller les consciences et
encourager une prise de conscience collective sur les enjeux environnementaux.

Ville durable
Ville nourricière :
après l’énergie, la nourriture est la ressource urbaine la plus demandée. L’agriculture
urbaine répond aux demandes croissantes d’aliments locaux.
Croissance économique :
une ville verte attire de plus en plus d’entreprises.
Tourisme :
le choix de la destination se fait pour une partie croissante de la population en fonction des
engagements des territoires. De plus la relocalisation des consommations touristiques est observée
depuis l’été 2020. Une volonté de redécouvrir son territoire et d’aller vers des territoires moins touristiques
est en plein essor.
Espaces verts, source de bien-être individuel et collectif :
la présence de végétal en ville permet de mieux
accepter la densification urbaine et améliore la santé en donnant la possibilité d’évacuer le stress. Ce
bien-être ressenti à titre individuel joue également à l’échelle des groupes sociaux.

Notion de “valeur verte”
Parcs ou jardins :
les villes qui disposent de parcs ou jardins boostent
la valeur de l’immobilier. Les parcs ou jardins acces
sibles à pied déclenchent dans les 11 principales villes françaises
une hausse des prix de 3,3% (pour les logements à moins de 5 minutes)
à 1,1% (pour ceux qui nécessitent 10 à 15 minutes).
Gestion fluviale
Désimperméabilisation des sols :
adaptation au changement climatique par la
réduction du risque inondation en limitant le
ruissellement sur les surfaces imperméabilisées, la
préservation des ressources naturelles (eau & sol),
en limitant l’accumulation de contaminants dans
les eaux de pluie et dans les milieux récepteurs,
en réduisant les débordements de réseaux d’assainissement sanitaires
par temps de pluie dans les milieux aquatiques, en permettant la recharge
des nappes phréatiques, en redonnant vie aux sols.

APPORTER BIEN-ÊTRE ET BONNES PRATIQUES À LA GÉNÉRATION FUTURE
Avec le réchauffement climatique, les cours d’école goudronnées peuvent atteindre jusqu’à 60° l’été. Autant dire que les îlots de chaleur générés par le bitume omniprésent, risquent de rendre ces lieux infréquentables.
Rôle éducatif
Savoir-faire :
Le jardin permet aux enfants d’acquérir des
compétences pratiques autour du végétal.
Cela comprend le fait d’apprendre à semer, planter,
repiquer, cultiver mais aussi de nombreuses activités complémentaires :
entretenir et prendre soin, manipuler des outils et
construire, se projeter dans l’espace et le temps,
et bien sûr communiquer.
Savoir-être :
En complément des activités physiques,
le jardin est aussi une formidable école de patience,
un lieu où l’on apprend le respect de la nature et des autres,
un lieu où l’on expérimente la solidarité et le partage,
l’humilité comme la motricité.
Savoirs :
Quel plus bel endroit qu’un jardin pour
acquérir des connaissances sur la biologie et la
biodiversité ! C’est également un espace privilégié
pour comprendre l’incidence des gestes simples
du quotidien sur l’environnement, découvrir
l’importance du respect des saisons, les spécificités
de chaque espèce et la relation entre nature et
alimentation.

Les syndromes d’amnésie environnementale :
On a découvert le « syndrome d’amnésie environnementale » qui est lié à la déconnexion de la nature. Ce mécanisme psychologique peut en partie expliquer le fait que peu de personnes se mobilisent pour protéger et sauver la biodiversité et que nous finissons par considérer comme « normal » un état de dégradation environnemental avancé. Si l’on n’a pas pu, enfant, créer un lien affectif à la nature, à l’âge adulte, on ne se rend pas compte de la dégradation de l’environnement. Si l’on a connu uniquement un environnement dégradé dans l’enfance, on ne se rend pas compte des pertes subies par la nature une fois adulte.

PROTÉGER NOS AÎNÉS ET AMÉLIORER LEUR BIEN-ÊTRE
Face aux évènements climatiques extrêmes, les EHPAD doivent garantir à la fois la continuité des soins et le bien-être des résidents les plus vulnérables.
L’article D.312-161 du CASF stipule que les EHPAD doivent aménager une salle équipée d’un système de climatisation fixe ou disposer d’un espace frais pour garantir le confort thermique des résidents pendant les périodes de canicule
Rôle thérapeutique
Bien-être émotionnel :
lieu de repos privilégié mais aussi espace d’activation sensoriel,
le jardin est un véritable atout pour la santé et le bien-être des résidents.
Il fournit une variété d’éléments visuels (verdure, fleurs
colorées, chemins sinueux…), auditifs (chants des
oiseaux, bruissement des feuilles, murmure de l’eau…),
olfactifs (fleurs parfumées, plantes aromatiques,
herbes médicinales…), tactiles (feuilles, pétales de
fleurs, rugosité des écorces d’arbres, fraîcheur de
l’eau…)
Catalyseur de socialisation :
les espaces végétalisés atténuent la solitude et l’isolement
ressentis par certains résidents. De plus
le jardinage en groupe et en collaboration avec
le personnel favorise les rapports humains et les
contacts au quotidien.
Autonomie et sentiment d’utilité :
en impliquant les résidents dans les plantations,
l’arrosage et la récolte des légumes,
le potager permet de développer leur autonomie et leur confiance en soi
mais il leur donne également l’occasion de montrer leurs compétences et leurs
connaissances.
La maladie d’Alzheimer :
De nombreuses études mettent en évidence
les bénéfices du jardin dans le domaine de
la maladie d’Alzheimer avec une diminution
des tentatives de sorties inadaptées, une
amélioration du sommeil et une diminution
de l’agressivité.
On peut souligner également des bienfaits
notables sur le rythme nycthéméral, l’appétit,
l’amélioration des troubles comportementaux.

LE VÉGÉTAL AU SERVICE DU VIVRE-ENSEMBLE
Rôle social
Mixité sociale et générationnelle :
les parcs et jardins sont des lieux de rencontres et de détente où se
côtoient des personnes de tous horizons sociaux, d’âges et de cultures différentes.
Jardins partagés :
grâce à eux, les habitants des résidences sont en mesure de cultiver des produits frais
et sains. C’est aussi une solution Idéale pour favoriser l’accès à la nourriture des plus démunis.
Interagir :
les espaces verts permettent d’interagir entre voisins, ils entretiennent les échanges entre voisins
de la résidence.
Pédagogie :
les jardins et les jardins partagés permettent de sensibiliser les résidents à la biodiversité et à
l’environnement avec la mise en place d’ateliers pédagogiques.
Effets de levier
Gestion raisonnée des espaces verts :
elle a l’avantage de réduire la consommation d’eau
tout en limitant la main d’œuvre.
Anti-inflation :
inflation, crise de l’énergie, pénu
rie d’eau… Les jardins apportent des solutions pour
pallier les coûts économiques.
Valeur immobilière :
une résidence comprenant des espaces verts voit
sa valeur augmenter.
Zoom sur la règlementation :
Loi pour la reconquête de la biodiversité
Après la loi relative à la protection de la nature de 1976 et la loi sur la protection et la mise en valeur
des paysages de 1993,
la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages a été
promulguée le 9 août 2016.
Cette loi inscrit dans le droit français une vision dynamique et renouvelée de la
biodiversité et a pour ambition de protéger et de valoriser notre patrimoine naturel, pour faire de la France
le pays de l’excellence environnementale et des croissances verte et bleue.

Elle répond concrètement aux enjeux de la biodiversité :
Valoriser la connaissance :
les données issues des études d’impact seront versées dans l’inventaire du
patrimoine naturel ; la loi reconnaît les atlas du paysage et la fixation d’objectifs de qualité paysagère.
Protéger la biodiversité dans les choix publics et privés :
la stratégie nationale pour la biodiversité est
inscrite dans le code de l’environnement ; la séquence « éviter les atteintes à la biodiversité, à défaut
les réduire et, en dernier recours, compenser les impacts résiduels » (éviter-réduire-compenser) pour
les projets d’aménagement est confortée et des sites naturels de compensation sont établis pour per
mettre des compensations effectives ; les particuliers peuvent désormais contractualiser des obligations
réelles environnementales ; les collectivités locales doivent intégrer la biodiversité urbaine dans les plans
climat-énergie territoriaux.
Intégrer la dimension environnementale dans l’urbanisation commerciale :
nouvelles dispositions applicables aux centres commerciaux comme la végétalisation des toitures,
l’installation de production d’énergies renouvelables, la lutte contre l’artificialisation des sols dans
les aires de parkings.

La Taxonomie
Qu’est-ce que la taxonomie verte européenne ?
La taxonomie verte de l’UE est un système de classification des activités économiques permettant
d’identifier celles qui sont durables sur le plan environnemental, c’est-à-dire qui n’aggravent pas le
changement climatique.
Véritable “boussole environnementale” de l’UE, la taxonomie a été lancée par la Commission européenne en 2018 pour guider et mobiliser les investissements privés pour parvenir à la neutralité climatique dans les 30 prochaines années, s’inscrivant ainsi pleinement dans les objectifs climatiques et environnementaux du Pacte Vert européen.
Comment a été établie cette taxonomie ?
Afin de s’assurer de la robustesse et de la solidité scientifique de cette classification, la Commission
européenne a chargé un groupe d’experts indépendants de fixer les critères permettant de savoir si la
performance environnementale d’une activité économique donnée est suffisante pour atteindre la
neutralité climatique d'ici à 2050 et le niveau d’ambition fixé à l’horizon 2030.
Sur la base de ces travaux, les députés européens et les États membres ont adopté le règlement sur la taxonomie (https://eur-lex.europa.eu)
En juin 2020, qui définit des critères permettant de déterminer si une activité économique peut être intégrée (ou non) à la taxonomie verte de l’Union européenne. Pour qu’une activité puisse bénéficier du label “vert” au sens de la taxonomie, elle doit contribuer de manière substantielle à au moins un des six objectifs suivants, sans porter un préjudice significatif aux cinq autres, tout en respectant des garanties minimales en matière de droits humains et de droit du travail. Les six objectifs environnementaux sont :
- L’atténuation du changement climatique
- L’adaptation au changement climatique
- L’utilisation durable et la protection des ressources aquatiques et maritimes
- La transition vers une économie circulaire
- La prévention et le contrôle de la pollution
- La protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes
La taxonomie européenne, adoptée le 4 juin 2021 et entrée en vigueur le 1er janvier 2022 intègre les activités contribuant aux deux premiers objectifs de la taxonomie que sont l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. Plus de 70 activités issues des secteurs de l’énergie, des transports, de la sylviculture, de la construction sont concernées, et représentent plus de 90% des émissions de gaz à effet de serre de l’Union européenne.

CHACUN DOIT APPORTER SA GRAINE À L’ENVIRONNEMENT
Le jardin a des bienfaits absolument remarquables sur l’esprit, la santé et le bonheur. C’est le moment d’en profiter pour se créer un véritable havre de paix ! Votre jardin est un outil au changement climatique tant sur l’aspect économique qu’environnemental. Que vous ayez un grand espace à aménager ou seulement une petite cour, laissez entrer un brin de nature chez vous.
Bien-être et santé :
Un jardin a la faculté de faire du bien au corps et à l’esprit. Plaisir simple et authentique, il permet de s’évader tout en restant tranquillement chez soi. On dit souvent que la terre absorbe les ondes négatives !
Saviez-vous que le jardinage a de grandes vertus pour votre santé ? Il est prouvé que passer chaque jour un moment au jardin est un bon moyen d’augmenter sa durée de vie. Il permet de lutter contre l’anxiété, la dépendance et les états dépressifs. Avoir un petit coin de nature à soi et en prendre soin est une véritable source de bien-être.
Une alimentation plus saine, plus locale et moins coûteuse :
Vous pouvez facilement aménager un potager au cœur de votre jardin. Vous aurez la satisfaction de déguster ce que vous avez vous-même fait pousser et vous saurez exactement la provenance de ce que vous aurez dans votre assiette.
Les bons fruits & légumes du marché peuvent parfois être assez coûteux. Manger des produits de qualité peut vite peser sur votre budget… Mais pas si vous les produisez vous-même ! Le jardin fait aussi du bien au porte-monnaie.
Une opportunité de transmettre, sensibiliser et protéger
Le jardin est un lieu d’apprentissage et de découverte où tous les sens sont mis en éveil. Il permet de sensibiliser à l’environnement et à sa protection (eau, chaleur, lumière, compost, observer les animaux…)
Un rempart contre la crise énergétique :
Une végétation abondante dans votre jardin réduit la température environnante
grâce à l’évapotranspiration.
La végétation épaisse filtre la poussière et participe à l’isolation phonique
des habitations. Le principe de base est simple : plus la végétation est
épaisse, plus l’action positive sur le microclimat est importante.
Un moyen de pallier au manque d’eau :
Installer un système de récupérateur d’eau de pluie pour son jardin permet de réaliser près de 200€ d’économies par an. C’est une option économique, mais aussi un geste écologique qui permet une réduction de l’utilisation d’eau potable d’environ 2 000 litres par an.

Un élément essentiel pour la préservation de la biodiversité :
Pour que le jardin devienne un véritable refuge pour la biodiversité, il faut diversifier les habitats. Les oiseaux, les insectes, les amphibiens, les plantes… y trouveront leur bonheur pour s’épanouir. On peut facilement mettre en place toutes sortes d’habitats : tas de bois, feuilles mortes, tas de pierres, troncs d’arbres. Ces abris servent surtout de lieux de repos ou de reproduction

Sur un sol complètement imperméabilisé, en ville,
l'eau s’évapore à 30%,
s’infiltre à 15%
et ruisselle à 55%
Sur un sol naturel,
l’eau s’évapore pour 40%,
s’infiltre dans les sols pour 50%
et ruisselle à 10%
Économie de 94 millions d’euros
en dépenses santé chaque année, si les espaces
verts, en ville, augmentaient de
10%
Source : UNEP,
Étude : « la valorisation économique
des espaces verts et ce qu’ils
rapportent aux citoyens et aux
collectivités (Cabinet Astères)
35% du tonnage de ce que nous
consommons dépendent d’une
pollinisation animale
(en particulier des insectes)
soit plus de
70%
des cultures
Entre une surface bitumée
et une surface végétalisée,
la température d’une zone
peut baisser
de plus de
5%
5,4 T de CO2
C’est ce que peut retenir 10
grands peupliers, soit les
émissions d’un Airbus A320
sur un trajet de 400 Km
Source : ministère de la Transition Écologique